Un savoureux mélange de plaisir charnelle et d'un épineux problème... [PV Bailey]

« Ce soir, tout doit être parfait. Pourquoi ? Parce qu’un de mes associés vient me rendre une petite visite pour discuter de nos diverses petites commandes. Quel genre de commande ? Vous ne voulez pas vraiment le savoir. S’il fallait que je vous dresse une liste de tout ce que nous faisons, vous risquerez beaucoup trop. Car seulement ceux en qui j’ai confiance, connaissent ses transactions qui sont pour vous, une curiosité qui pourrait vous coutez votre minable petite vie. Je suis trop rude pour vous ? Mais c’est la réalité, si vous entrez dans ce monde, vous n’en sortez pas indemne. Soit vous mourrez, soit par un mystérieux hasard, vous devenez quelqu’un en qui je peux faire confiance. Vous avez faite votre choix ? Parfait car vous n’aurez pas une seconde chance. Pour ceux qui ne sont pas intéressé, sortez d’ici toute suite et retournez à vos tâches. »

J’entendais que mes nouveaux employés se décident. Comme je l’avais prédis, près de la moitié quittait la salle de détente pour retourner à leurs tâches quotidiennes. ‘Sa tombe bien, je n’avais besoin d’eux ce soir’ Pensai-je en regardant les huit têtes surprises mais avides de savoir la suite.

« Bien. Ce soir vous allez avoir la chance de côtoyer mon associé Bailey Nasir. J’en profite pour vous rappelez quelques règles. Tout d’abord, je vous ai offert un emploi mais aussi ma protection. N’abusez pas de ma protection au point de commettre un affront. En somme, je ne veux pas voir aucun d’entre vous lever le petit doigt contre mon associé. Le Strip Club accueil tout le monde, peu importe leur clan et aucun violence n’est permise sauf si je l’autorise. Ensuite, si vous êtes chanceux, l’un ou l’une d’entre vous aura la possibilité de passé la soirée avec mon associé. Bien sûre, la personne choisit aura un petit bonus sur la prochaine paye. » *Ou de finir sur ma prochaine liste de traffic humain* continuai-je pour moi-même tout en affichant mon sourire charismatique. Mon discours continua sur des banalités telles que des règles de conduite. Je ne voulais pas non plus qu’une de mes employés lui saute carrément au cou en entrant dans la salle de conférence. Je voulais faire une surprise à Bailey, mais je ne voulais pas finir avec la plupart de mes employés mutilés à cause d’une écervelée qui n’a pas fait attention. Une fois tous ses points revus, je les renvoyai se préparer. Bailey allait se détendre et se rincer l’œil ce soir. Oui nous avions un petit problème à régler, mais il pouvait toujours resté pour s’amuser un peu. J’allais tout lui offrir sur un plateau, il n’avait qu’à choisir.

***

L’horloge de la piste de danse affichait 22 heures. L’ambiance du club débutait à peine et j’accueillais les gens avec mon énigmatique sourire quand je l’aperçu enfin. Je laissai l’accueil à Meredith et je me dirigeai vers Bailey tout en le saluant d'une bonne poigné de main :

« Hey Bailey! Ca va? Je commençais à croire que tu n’allais pas venir. »

Je savais bien que mon pote était parfois très occupé mais je lui souris et on se dirigeait directement dans la section strictement réservé au personnel comme à chacune de nos rencontres. Une fois dans le couloir, je passai mon bureau puis la salle des employés, la salle de détente et je fini par ouvrir la porte à ma gauche qui me donnait accès sur la petite salle de réunion. Au milieu de la table, se trouvait deux verres et le cognac préféré de Bailey. Ce n’était pas un Cognac de bas de gamme mais bien un Cognac vieillit de 10 ans. Je buvais rarement du Cognac mais toutes les occasions impliquaient mon cher Bailey. Je versai cette eau-de-vie dans nos deux verres tout en donnant le deuxième verre à Bailey et j’ajoutai :

« Trinquons mon ami ! À notre amitié ! » Puis je calai d’une traite mon verre pour ensuite m’en servir un autre.

Je pris place sur l’une des chaises et j’affichai un de mes sourires carnassiers quand on cogna à la porte :

« Entrez mesdames ! » Dis-je tout en scrutant la réaction de mon ami quand quatre femmes très peu vêtu paradait jusqu’à nous.

« Mon cher, je t’offre celle que tu veux ce soir. Tu as le choix entre deux blondes, une rousse ou une brune » Dis-je toujours en scrutant sa réaction tandis que mes danseuses faisaient quelques petites poses pour tenter d’attirer le regard de mon pote. Nous étions ici pour affaire mais pourquoi ne pas y rajouter une petite dose de plaisir charnelle ?

‘’Vous êtes sûre qu’elles sont toutes là?’’ Demandais-je pour la troisième fois en regardant l’intérieur de mon entrepôt personnel. Je ne tenais tout de même pas à devoir chercher mon employé pour le faire souffrir mille torture s’il manquait ne serait-ce qu’un cheveu de ce que je lui avais commandé. Je suis un homme très exigent, je le sais, mais j’étais toujours ainsi lorsque j’allais parlementer avec mon associer. Après tout, les transactions que nous faisions ensemble était plus que foisonnante d’argent et malgré ses airs de benêt, je l’appréciais bien. Enfin, apprécier…autant que je suis capable d’apprécier quelqu’un qui n’est pas mon reflet dans le miroir ou Jimm. J’ai regardé ma montre et je me suis mis à juré. Si je ne voulais pas être en retard, je ne devais pas faire un saut chez moi pour aller me changer. Le problème c’était que j’étais en jeans noir avec une chemise blanche et un par-dessus noir, rien de bien idéal pour se détendre. Soupirant une nouvelle fois, la centième fois de la soirée il me semble, j’ai embarqué dans ma voiture et j’ai indiqué l’adresse à mon chauffeur.

Lorsque je suis débarqué devant le Strip Club, le gardien de sécurité m’a immédiatement laissé entrer. Bien, Caleb avait dompté efficacement ses employés. Je ne voulais pas réellement ruiner ma chemise en égorgeant quelqu’un ce soir. Une femme quelconque m’accueilli et me conduisit jusqu’à son maître. Caleb. Il me serra la main en me disant qu’il ne m’espérait plus. Lui jetant un regard quelque peu froid, j’ai regardé ma montre et j’ai répliqué d’une voix glaciale : ‘’ J’ai dit que je serais ici à 22 heures, or il n’est que 21 : 58, c’est ton horloge qui a de l’avance’’. Il me conduisit dans de longs couloirs qui ne m’intéressaient vraiment pas et nous nous retrouvâmes dans son bureau. Mes yeux visèrent immédiatement la bouteille de cognac. Ainsi donc, il se rappelait de ma boisson préféré. Bon point pour lui. Excellent même! Cet énergumène savait trouver le meilleur cognac de tout Lost tree. Je me suis assis dans un fauteuil et j’ai attrapé mon verre. Buvant une gorgée pendant que Caleb trinquait seul en mon honneur, j’ai déposé mon verre sur ma cuisse et je lui ais dit, d’une voix beaucoup plus détendue que précédemment : ‘’Allons, cesse ces bouffonneries, nous sommes ici pour parler d’argent, pas pour nous ouvrir une crèmerie ensemble’’. Mon visage se figea immédiatement lorsqu’il fit entrer les femmes dans la pièce. Elles étaient très peu vêtues et c’était le but, j’en ais bien peur. Me prenant le front dans ma main gauche, j’ai regardé Caleb m’expliquer que cette nuit, je pouvais avoir celle que je désirais. J’ai à peine regardé ces femmes que je trouvais trop fade et j’ai dit d’une voix ennuyée, mais également légèrement amusée : ‘’Mon cher partenaire d’affaire, tu prends la peine de faire venir ces femmes ridicules sans même connaitre mes préférences sexuelles? Ais-je déjà touché à l’une de tes employées auparavant? Non, ça ne t’allume pas? Ce n’est certainement pas parce que je respecte ces trous bons qu’à vider nos testicules!’’

Les visages de ces catins se décomposèrent devant mes phrases acides. Quoi, elles ne prenaient pas la critique. Pourtant j’avais été gentil…en tout cas, j’avais essayé.

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