Kurt C. Hellman... Oui c'est bien moi ! ^^"

Raconte ton histoire...

Un jour... Une naissance ! Kurt Hellman, deuxième de nom, portait la même identité que son grand-père, mort un peu tôt, assez pour qu‘il ne le connaisse jamais de sa vie. Tandis que Constant est le prénom de son père. Kurt est né un 11 juin 3575, c’était un temps où personne n’avait encore de pouvoir. Ni même personne ne devait se douter que tout le monde serait capable de créé du feu au bout de ses mains ou de cracher de la salive acide. Enfin c’était ce que Kurt pensait. Dans son enfance, il n’était pas très ouvert sur le monde qui l’entourait, ses parents préféraient le savoir enfermé dans leur demeure, en sécurité, plutôt que de sortir en ville. Constant et Marie-Élisabeth, les parents de Kurt, était un couple bien placé dans la politique des États-Unis. Ils occupaient un haut rang dans la société. Ce qui fait que Kurt n’a jamais eu faim et n’a jamais manqué de quoi que ce soit. Mise à part une seule chose que les nourrices en tous genres ne pouvaient lui procurer… c’était de l’affection. Mais bon étant un enfant, il ne s’en préoccupait pas vraiment. Il préférait aller embêter, parfois, son grand frère: Zach; pour ne pas s’ennuyer. Donc Zach' était l’enfant-modèle. Il ramenait des bonnes notes de l’école et pratiquait le sport préféré de son père, ce qui leur créaient des points en commun, que Kurt et Constant n’auront jamais. Pour faire simple, Zach faisait un peu de l’ombre à Kurt, sans que lui ne s’en rendre compte. Il faut dire qu’il y avait une sacrée frontière entre Zach et Kurt, rien qu’en état physique Kurt était un petit gringalet, plus agile que fort et son frère était plus élancé et costaud, son père le surnommait « la statue de bronze ». Tellement il était baraqué, surtout quand il s'entrainait dans la salle de sports du domaine. Kurt, lui, c’était… simplement Kurt ou le « petit con ». Il se demandait même parfois s’il avait été souhaité ? Tout ça, l’écartait un peu de ses parents. Et vu qu’il n’avait jamais personne à qui parler, surtout pas sa mère : c’était une femme toujours renfermer sur elle-même; Kurt trônait sur la solitude et les cours à la maison. Des cours donnés par des profs du quatre coin du pays, qui ne semblait jamais rien pouvoir faire pour les neurones de Kurt, qui ne se remplissaient pas autant que son père le voudrait. Un jour, il avait voulu se faire remarquer, c'était un des jours où son père était rentré pour le week-end, en cassant un vase dans les escaliers… Son père l'a juste regardé, sur un regard neutre et à demander à une nourrice de l’emmener faire ses devoirs. Comme si ça ne l'avais même pas étonner. Aussi bizarre que ça le soit, Kurt aurait tant aimé être puni, au moins une fois dans sa vie. Mais ça n’arrivera pas tout de suite. Même le jour où Il a surpris son père complètement saoul dans le garage de la maison, en train de s’enfiler une bouteille de whisky « Chivas Régal », dans la vieille Mercedes de collection, datant d’au moins 500 ans. Constant l’a juste regardé et lui avait dit : « Tu ne deviendras jamais grand ». Cette phrase avait raisonnée comme un coup de marteau pour lui. Lorsque Kurt eu 15 ans, ses parents se placèrent du coté de Mae Delaney, et il les vu encore moins qu’avant. Le garçon ne comprenait pas grand-chose à ce qui se passait dans le monde, mais ceci était souhaité par son père. Il a juste appris qu’une épidémie s’était abattu dans le monde et que les citoyens de la terre devenaient des soi-disant "super-héros"… Mais ça s’était avant que la guerre ne soit déclarée. À l’adolescence, comme chaque corps humain de ce monde, Kurt avait légèrement changé physiquement et même… mentalement. Il avait commencé à pratiquer un peu plus de sport. Mais sans grand succès, ça lui a tout de même enlevé l’étiquette du « gringalet ». Il avait grandi, il a commencé à devoir se raser… au début il trouvait ça marrant, ça le faisait se sentir plus homme. Mais, très rapidement il s’en est lassé. Peu de temps après ses 17 ans son père l’avait inscrit dans une université pour des études de droit privé, plutôt facile de fréquenter les meilleurs écoles quand ses parent sont connus… C’était le moment de tous les changements pour Kurt. Ce petit garçon qui ne sortait presque jamais de son chez lui, qui était couvé par des nourrices à longueur de journée, et qui pourtant allait mal au fond de lui. Devait faire face à la vie étudiante, une vie qu’il n’avait jamais vécue avant, un total nouveau pour lui. Il allait devoir fréquenter de nouvelles personnes, affronter le regard des autres, et ...ça le terrorisait. Son premier jour avait été presque catastrophique. C’était la première fois qu’il se retrouvait dans un internat. Et dès le début il savait qu’il n’allait pas aimer ça. Il avait essayé de se faire quelques amis. Mais sa personnalité l'en empêchait. Et puis… Il n’avait pas de pouvoir. Chacun des étudiants avait la chose qui le rendait unique, sauf lui. Il n’avait pas encore découvert son don. Puis, Il avait essayé à s’intéresser à ce qu’il faisait, à y trouver un intérêt, mais il n'y avait que son père qui y trouvait une utilité… Lui n’y arrivait pas vraiment. Alors pendant les vacances, quand il rentrait chez lui. Il se taisait, c'était sa façon à lui de faire comprendre qu'il n'aimait pas se qu'il faisait. C’était fini l’enfant qui voulait se faire remarquer en bougeant dans tous les sens. Il avait compris qu’en faisant l’inverse ses parents s’intéresseraient sans doute bien plus à lui. Ça semblait marcher au début… Ils commençaient à s’inquiéter légèrement pour lui. Mais, juste après sa mère allait féliciter son frère pour ses bonnes notes. Alors lui aussi avait commencé à se rendre intelligent. Il avait essayé de développer ses connaissances dans ses matières de prédilection… Comme l’art ou l’histoire et la géographie. Laissant les cours de Gestion et d’étude de droit un peu de coté. Sans pour autant les délaisser. Tout ceci était comme une porte qu’il se créait afin d’attirer les gens, et surtout ça famille. En l’espace d’une année il avait totalement changé. En pleine année scolaire, alors qu’il rentrait de vacance, il tomba sur une affiche devant sa porte de chambre. C’était une liste de cours extrascolaires qu’il pouvait faire… Il s’était, tout de suite montré intéressé par le cours de photographie. Il y trouvait un moyen de s’échapper, il se libérait en apprenant à prendre des photos correctement, à faire quelques expéditions en ville pour sortir son nouvel appareil sans que son père ne l’apprenne. Le groupe était petit, donc il se sentait mieux. Même s’il restait, comme toujours, dans son coin sagement. Il ne parlait pas plus qu’à ses colocataires de chambre. Mais, c’était dans ce groupe, la première fois, que quelqu’un venait lui parler gentiment. Il s’appelait Alexis. C’était un jeune homme de son âge, il était lui aussi passionné par le métier de photographe, un métier qui se mourrait. Ils s'étaient trouvés rapidement beaucoup de points en commun. C’est même lui qui avait donné encore plus l’envie à Kurt de devenir photographe, quand il sera plus grand. Même s’il savait déjà qu’il ne pourrait jamais réaliser son rêve. Un soir, alors qu’Alexis raccompagnait Kurt à l’université privée, il l’avait pris par la main, tout simplement. Alexis avait franchi un pas énorme pour Kurt. Sur se, il se posait énormément de question après ce geste, des questions sur sa sexualité, mais aussi il se demandait comment quelqu’un pouvait sembler l’aimer, ce sentiment lui semblait autant nouveau que le fais d'être un peu heureux. Jamais il n’avait eu à faire avec une personne avec qui, il éprouver des sentiments. Ils s'étaient donné rendez-vous pour se revoir une dernière fois avant qu’Alexis apprenne que ses parents étaient de manche avec la dictatrice. Kurt lui-même ne le savait pas. Alexis l’a embrassé pour la première fois avant de lui tourner le dos. Kurt s’en rappellera toujours. C’était la première fois qu’il aimait et pourtant c’était aussi la première fois que son cœur était déchiré. Jamais il ne revu Alexis au cours de photographie. Justement, c’était lorsqu’il s’amusait à prendre l’université en photo, qu’il reçut un appel de la maison. Il ne se serait jamais imaginé pouvoir entendre une telle chose de la part de son père. Constant avait pris la décision d’appeler son dernier fils et lui cracher en plein visage des paroles effroyables. Il lui a d’abord annoncé sans scrupule ni la moins émotion que son frère avait été tué par des Célestins. Après s’en être pris à un de leurs groupes par décision des Séraphins. C’était, selon lui, une mort accidentelle. Kurt n’avait pas eu le temps de dire quelque chose, ni ressentir les larmes montées aux yeux que Constant commençait à lui dire qu’il était « la honte de la famille » et qu’il ne sera jamais le fils qu’il aurait aimé. Qu’il payait ses études pour rien… Mais Kurt raccrocha au nez de son père complètement saoul. Et, ses mains dans les poches, il s’en alla sans montrer aucune expression sur son visage. Comme si rien ne s’était passé. Comme s'il était son père. Apparemment, la nouvelle qu’avait apprise Alexis s’était vite rependu. Après la mort de son frère, la semi-rupture, ses nouvelles émotions inconnues, les insultes de son père, l’internat qu’il n’aimait pas, etc.… L’université entière était retourné contre lui, car il était haut placé, il avait encore plus d’argent que les autres ( alors qu’il ne l’a jamais vraiment montré), qu’il avait déjà un futur tracé, alors que dehors c’était la guerre, que rien n’était sûr. Et puis des rumeurs naissaient à tout bout de champs. C’est à cause de ça, qu’en essayant de répondre à un élève l’ayant insulté en public, dans les couloirs de l’université que Kurt se fit prendre un coup de poing en pleine face. Alors qu’il était secoué et essayait de reprendre ses esprits, allongé au sol et le nez en sang. Toutes les lumières semblaient s’éteindre. Kurt s’énerva fortement et se rendit invisible… Il avait un pouvoir. Enfin ! Même s’il était chamboulé il était heureux d’avoir reçu ce coup de poing. C’est vrai que dans un sens Kurt était assez bizarre. Il se releva sans que les gens ne l’aperçoive et couru sous la pluie battante, dans le parc de l’université. Enfin il était grand, les phrases de son père s’étaient avouées être fausse, et justement le regard de son père changea légèrement après lui avoir avouer qu'il avait enfin des dons. Kurt ne se sentit plus autant différent des autres et se sentit plus fort. Il retrouvait le sourire. Au début il croyait pouvoir se rendre seulement invisible, mais il comprit bien vite que chaque corps ou objet absorbaient la lumière et en maitrisant cette lumière, l’empêchant de traverser la matière, les objets ou les personnes ne pouvaient plus être vues. Et donc Kurt pouvait se rendre invisible. Même si ça lui demandait énormément d’énergie. Il pouvait s’amuser et se faire remarquer à contrôler la lumière. Après sa sortie de l'université, à 24 ans, après qu‘il y ait eu Vanessa, Katy, Lawrence, et d'autres filles. Kurt commençait à ressentir des sentiments de mal-être en lui, son passé faisait toujours éruption à tout va. Alors son père l'avait forcé à voir une psy'. Pour la première fois Constant faisait quelque chose personnellement pour son fils, ce n'était pas pour déplaire à Kurt, bien au contraire. Au début il faisait quelques séances : Kurt parlait de son enfance, de l'absence de ses parents, et le sujet à vite dérouté sur ses envies du présent. Dans quelques moi, Kurt sera censé intégrer les bureaux, au centre-ville de Withinghall, pour travailler avec son père. Depuis ses quinze ans Kurt était promu à être un Séraphin, même s'il n'en avait pas du tout la carrure, ni la personnalité. Et ça le faisait stressé, c’était certainement la raison de son mal-être. Il ne voulait pas y travailler. Lui, il avait d'idée pour son futur qui était complètement contradictoire à celle de son père, comme toujours. C’était donc pour ça, pendant une de ses séances, que Kurt avait émis l’hypothèse de partir en France. Dans un pays où la plupart des gens ne sont pas des séraphins. Où tout le monde est neutre. C’était, après tout ,un rêve comme les autres : vouloir la paix dans ce monde. Sauf que pour les Séraphins c’était mal vu, même très mal. Surtout si en plus, un révolutionnaire venait à être plus proche, que tout autre citoyen de la ville, de la dictatrice. La psychologue, malgré son droit au silence depuis le début parlait de chaque séance à son paternel. Elle n’avait pas le choix, elle était payée pour. Et puis celui qui justement la rémunérait faisait partie de la dictature de Mae. Elle lui parlait d’en envie de changement de son fils, de vouloir rendre les gens différent et de changer la ville entière. La nouvelle ne fut pas très bien prise par le père. De retour à la maison, son père recommençait à le regarder comme si c’était un moins que rien, comme s’il ne pourrait rien faire de lui. Il commença à le forcer à faire du sport. Sauf que les coups que lui portait son père, lors de combats de boxe, étaient réelle et sans protection. Kurt commençait à se demander si la psychologue n’était juste qu’un appât ? Sa mère assistait aux scènes qui se révélait être de plus en plus violente sans ne rien dire. Ni même les femmes de ménage, restaient le dos tourné. Kurt s’enfermait dans sa chambre les soirs, pendant que son père se remettait à boire, afin de pleurer. Il se sentait incapable et impuissant face à son père. Pourtant il était adulte, il devait faire quelque chose. Chaque matin, Constant allait le réveiller pour le faire travailler soit sur son futur métier, soit sur son physique et son mental. Chaque jour qui passait servait à endurcir le jeune homme. La dictature s'était installée à l'intérieur même de la maison. Mais, après une nuit blanche, à réfléchir sur son sort, et à soigner une ou deux ouvertures quotidiennes. Kurt alla parler à son père. Prenant son courage entre les mains. Il aurait très bien pu fuir de la maison, en faisant sa valise. Il y avait bien pensé, autant qu’il avait pensé au suicide. Mais c’était comme si quelque chose le retenait… Il espérait que ce n’était pas le don caché de son père. Jamais personne dans la famille ne savait qu’elle pouvoir avait l’un et l’autre. C’était comme des discussions taboues, qui c’était instauré involontairement. Donc, alors qu’il attirait l’attention de son père, une dernière fois, il commença à lui dire, d'une voix éteinte : « Papa ! Je vais partir … Je ne veux plus être un Séraphin ce n'est pas fait pour moi! ». La réponse de son père ne se fit pas attendre. Après que son géniteur eut porté un jugement de haine sur son gosse. Il lui porta un coup de poing dans le ventre. Suivis d’un deuxième. Kurt pouvait sentir à plein nez l’odeur du vieil alcool sur ses habits. Mais cette odeur se masquait très rapidement par la douleur des coups. Constant poussa son garçon au sol pour le frapper encore et encore, dans le garage, hors de la vue du personnel. Les poings montèrent jusqu’au visage. Kurt essayait de se débattre, ses jambes se trépidaient dans tous les sens. Jusqu’au moment, où toutes les sources de lumière du garage furent comme absorber par le corps de Kurt. Son pouvoir il ne l’utilisait jamais de trop, il avait essayé quelque expérience, mais n’était pas de très haut niveau, donc il l’avait laissé un peu de coté. En l'espace de quelques secondes, il n’y avait plus que le corps de Kurt qui illuminait la salle. Jusqu’à ce qu’une trainer de cette lumière ne vienne projeter son père au plafond. Le novice se dégagea avant que son père ne retombe au sol, sous un dernier soupir. C’était un accident, c’est-ce qu’il se disait au fond de lui… Même si rien n’était sûr ! Il avait ressenti le sentiment de puissance que lui procurait ce pouvoir et la mort. Il s’était senti pousser des ailes, il était à l’aise pour une fois dans son corps. Dans la même nuit, il décida de dissimuler le corps de son père, avant de l’emmener dans le quartier des Célestins. Il avait appris il y a quelque temps, qu’un homme était aussi capable, comme lui, de maitriser la lumière. C’était parfait, ils l’inculperont et lui feront ce qu’ils font d’habitude. Et lui, son fils… passera pour l’enfant attrister devant la mort de son père, qui était parti en ville lors d'une mission qui a mal tourné, complètement saoule. Il ne restait à présent plus qu’une personne dans la famille des Hellman… Il ne pouvait pas laisser sa mère seule dans cette maison. Sachant qu’elle devenait encore plus triste qu’elle n’avait pu l'apparaitre durant toute sa vie… La France sera pour un autre jour… Demain il rentrera dans les bureaux des Séraphins… Espérant qu’il n’ait pas pris gout à la souffrance.

Derrière l'écran.

Je m'appelle Kevin, 17 ans. J'ai connu le forum sur PRD ^^ En fait le dernière fois que j'ai voulu m'inscrire, le forum fermait >.< Donc me voilà tout de même *o* ( C'est moi le gars avec les e-mails à 4h du mat' x) !! ).
Sinon je pense que je vais mettre un peu de temps pour finir ma fiche... C'est la rentré chez moi :plore: .
Donc voilà j’espère bien m'amuser